These idiot guards chose this most inopportune moment to demonstrate for better standards of work and life. The guards must understand that after the elections and after a new government is installed in La-Guinea after decades of decrepitude and delinquencies in their lives, is the proper time to request such matters of employment. A transition government is hardly the institution to complain to and certainly not at this time when La-Guinea is poised to conduct her first free and democratic elections. I encourage them to show a modicum of honesty and patriotism for their fellow citizens. This is insiduous and malignant to your country. What have you been doing during the CNDD transition??? Or during Lansana Conte's reign?????????
The striking prison officers claim the transition minister of Justice intends to sabotage the upcoming SEMINAL elections that is why he is not taking them seriously. Well I declare it is the idiot guards who are intent on sabotaging the elections. Even if the transition Justice minister takes them seriously, what can he do for them???????????????
If this sit-in continues through tomorrow, I think La-GUinea should seek a temporary contingent of military personnel from Mali, Senegal, Burkina Faso, Benin, Liberia, and the Ivory Coast to man the prisons and relieve all striking officers of their duties sine die. After the elections and the installation of a new La-Guinea government, a new and more circumspect batch of prison guards must be hired and gradually replace the Prison Assistance Corps from neighbouring countries. This is sheer idiocy. I think the justice minister should communicate the gravity of the guards' actions and explain that he is in no position to address their demands to any modicum of satisfaction for them given his transitional nature and the imminence of the elections. If the minister fails to address the striking guards in that manner, he ought to be fired and jailed.
I'm sick of these and those inutile extremities. Haruna. Allez!!!!!!!! Courtesy: Guineenews.
Depuis plus de deux semaines, les gardes pénitentiaires ont lancé une grève sur toute l’étendue du territoire national pour réclamer l’amélioration de leur condition de vie.
Dans un entretien téléphonique avec Guinéenews© la semaine dernière, le ministre de la Justice garde des sceaux déclarait attendre « La ministre de la Fonction publique qui était en mission à Genève, pour signer l’arrêté de prise en charge de plus 600 gardes pénitentiaires. »
Mais voilà que depuis lundi dernier, apprend-on, la ministre de la Fonction publique est rentrée à Conakry, mais le statuquo reste toujours maintenu.
Selon un gréviste contacté par Guinéenews© et qui a requis l’anonymat, hier mercredi, le colonel Siba Louhalamou, a convoqué à son bureau le porte parole des grévistes, Mamady Gbé Camara. Mais rien n’a filtré de leur entretien. Il a tout de même promis de rencontrer les grévistes à 14 h le même jour ; toutefois, le ministre de la justice n’est pas venu au rendez-vous.
Face à cette situation, plusieurs grévistes interrogés par votre quotidien, estiment que le ministre de la Justice tente de saboter les élections du dimanche prochain. Car estiment-ils « en moins de 3 jours de la tenue des élections, c’est incompréhensible que Siba Louhalamou ne puisse pas être à mesure de résoudre un problème aussi banal que celui de régularisation de leur situation, surtout que la grève perdure depuis plus de deux semaines maintenant sur toute l’étendue du territoire national ; pire aucune autorité n’est venue les rencontrer pour négocier. »
« Ce qui nous fait mal, c’est de voir des pères de familles qui sont emprisonnés arbitrairement depuis plusieurs mois et qui ont obtenu leur liberté, mais ne peuvent sortir de la prison à cause de cette grève et l’irresponsabilité notoire du ministre de la Justice, Siba Louhalamou », affirme un autre gréviste en colère.
« Étant un cousin germain du capitaine Moussa Dadis Camara, tout porte à croire que le ministre Siba n’a aucun autre objectif que de saboter les élections présidentielles du 27 juin 2010 », conclut-il.
Cette attitude du ministre est également dénoncée par plusieurs autres organisations internationales notamment, Reporters sans Frontières.
Au moment où nous publions cette dépêche, Siba Louhalamou était injoignable !
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