He ACCIDENTALLY stepped on a mine he planted. Ergo, accidental. I suppose you don't believe I'm a prophet of HarunaSilo either? But you believe Muhammad is a prophet of Islam. I think you're a friggin selective believer.

Haruna. Gadhafi will head the independent inquiry!!

-----Original Message-----
From: suntou touray <[log in to unmask]>
To: GAMBIA-L <[log in to unmask]>
Sent: Fri, Sep 2, 2011 10:14 am
Subject: Re: [G_L] Mali: The accidental death of rebel leader Ibrahim Ag Bahanga.

I doubt the accidental death story Masoud. I call for a public enquiry.
Suntou

2011/8/30 Haruna Darbo <[log in to unmask]>
Nord Mali : Mort accidentelle de Bahanga
On sait très peu de choses, à l’heure où nous mettons sous presse, samedi après midi, sur les circonstances de la mort d’Ibrahim Ag Bahanga. Vingt quatre heures après tous les scénarios continuent de courir. Ils sont sans doute liés à l’éloignement du théâtre des opérations et à ce que fut l’homme ainsi que les suites à reverser à sa disparition.
Selon des sources généralement crédibles l’ancien chef rebelle a trouvé la mort dans un accident de voiture dans la région de Kidal, la voiture à bord duquel il se trouvait aurait fait un tonneau qui l’aurait tué sur le coup. Son chauffeur, grièvement blessé, aurait été transporté à Tamanrasset, localité située à la frontière malienne, en territoire algérien.
Dès l’annonce de la nouvelle, le président Amadou Toumani Touré aurait levé une délégation de haut niveau composée des membres de son État Major particulier pour se rendre à Kidal pour exprimer sa compassion et présenter ses condoléances.
La communauté kidaloise à Bamako a, de son coté, assis une maison mortuaire et organisé des séances collectives de lecture de coran pour le repos de l’âme du défunt. Les heures qui vont suivre édifieront davantage et apporteront des réponses aux nombreuses questions que se posent les uns et les autres.
S. El Moctar Kounta
Le Républicain du 29 Août 2011.
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Décès d’Ibrahim Ag Bahanga
Personnage belliqueux et incontrôlable, c’est ce que retiendra l’opinion nationale à propos d’Ibrahim Ag Bahanga. Le chef de l’Alliance Démocratique du 23 mai pour le Changement (ADC), ex-rébellion armée, est décédé le vendredi 26 août 2011 à la « suite d’un accident de la circulation ». Nos sources n’indiquent aucune autre précision. Il aurait été inhumé le même jour dans sa commune natale à Tin-Essako.
Après deux ans d’exil en Libye, Bahanga était retourné au pays en 2010 pour intégrer le processus de paix dans le cadre des accords d’Alger du 4 juillet 2006. Elu municipal, il était membre du Haut Conseil aux Collectivités du Mali. Ibrahim Ag Bahanga est originaire de Tin-Essako, région de Kidal. Il appartient à la tribu touareg des Ifoghas.
De berger, il avait intégré l’armée malienne après la rébellion armée de 1990. Il s’est hissé jusqu’au grade de lieutenant. Il sera plus tard démobilisé pour des actes d’indisciplines répétés. En décembre 2001, il prend en otage une dizaine de militaires pour faire ériger son village en commune, revendication qui sera satisfaite par l’Etat. A la faveur de l’enlèvement de 32 otages occidentaux par le groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, devenu Aqmi) dans le désert algérien en février 2003 qui a transité par le Nord du pays, Bahanga est intégré dans un comité de négociation mis en place par le président Amadou Toumani Touré.
Le 23 mai 2006, le Mali se réveilla en apprenant une grande attaque contre deux garnisons (Kidal et Ménaka). Bahanga se révéla en être le meneur principal, appuyé par le lieutenant-colonel Hassane Fagaga. Le mouvement qu’ils créent est dénommé alliance démocratique du 23 mai pour le changement. L’ADC a signé les accords d’Alger avec le gouvernement dont un point fondamental a été l’allègement du dispositif sécuritaire de l’armée dans la région de Kidal. Ce retrait permettra plus tard la prolifération d’un commerce illicite de drogue et d’armes dans la zone.
En 2007, Bahanga défraie une nouvelle fois la chronique en s’alliant avec des rebelles nigériens pour attaquer un poste de sécurité à Tinzaouaten pour se désolidariser des accords d’Alger. Avec la crise libyenne, le scénario de la violence était, semble-t-il, préparé par l’ex-rebelle avec le transfert de certaines armes du front de Tripoli.
Seydou Coulibaly
29 Août 2011.
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Mali : doutes sur les causes de la mort du chef rebelle Ibrahim Ag Bahanga
AFP - 28/08/2011 - La mort du chef rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga représente pour certains une "chance pour la paix" dans le nord du Mali mais d’autres s’inquiètent de la saisie d’armes par des proches de cet irréductible combattant en Libye.
Ibrahim Ag Bahanga était présenté par les observateurs comme un chef rebelle ayant toujours voulu évoluer en marge du processus de paix initié dans le nord du Mali avec les accords d’Alger signés en juillet 2006 entre Bamako et des groupes touaregs maliens.
Ag Bahanga est mort vendredi dans le nord-est du Mali dans un accident de la circulation et a été inhumé le jour de sa mort, a indiqué à l’AFP un membre de sa famille. Cette version suscitait cependant des interrogations.
Armes récupérées en Libye
"Est-il mort des suite d’un accident ou des suite d’un règlement de comptes avec des touareg ayant fui le front libyen ? On peut se poser la question de savoir s’il n’y a avait pas lutte de leadership" au sein du groupe d’Ag Bahanga, a déclaré à l’AFP un diplomate d’un pays voisin du Mali.
Une source dans le nord du Mali partage la thèse du règlement de comptes en faisant remarquer que "Ibrahim (Ag Bahanga) a été abattu par des gens qui ne voulaient pas se mettre" sous son contrôle.
"Avec les armes qu’il a récupérées en Libye, il devenait très fort. Certains n’ont pas voulu de son leadership", renchérit un ancien gouverneur d’une région du nord du Mali qui cite également parmi les hypothèses "une possible liquidation de Ibrahim Ag Bahanga par des trafiquants de drogue".
Le chef rebelle touareg était soupçonné par plusieurs chancelleries d’avoir récupéré des armes en Libye à la faveur de la rébellion armée déclenchée il y a six mois contre le régime de Mouammar Kadhafi.
Plusieurs touareg dont des hommes d’Ag Bahanga ont combattu en Libye aux côtés des troupes du régime qui ont cédé aux insurgés la quasi-totalité du territoire libyen.
Conséquences imprévisibles
Les conséquences de la disparition du plus radical des chefs rebelles touaregs sur le processus de paix dans la région nord du Mali suscitaient des questions.
"En Afrique, on ne peut pas se réjouir de la mort de quelqu’un. Nous devons maintenant poursuivre les efforts de paix pour le nord du Mali, pour tout le Sahel" où, outre des rébellions touaregs dans plusieurs pays, sévit Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui y a notamment ces dernières années procédé à plusieurs enlèvements d’Occidentaux, a déclaré à l’AFP le maire de la ville de Kidal, Arbacane Ag Zéwak.
"La mort de Ibrahim (Ag Bahanga) ? C’est une arme à double tranchant. C’est d’abord une chance pour la paix. Il était radical", a déclaré un responsable d’un important projet de développement dans le nord du Mali qui n’a pas voulu être cité.
Mais pour lui, "ces derniers temps, on s’inquiétait beaucoup sur les intentions" d’Ag Bahanga qui "revenait de Libye avec de l’armement pris sur le terrain. On se demandait s’il ne voulait pas encore faire parler de lui. Dans son groupe, il est le plus radical. Certains de ces éléments ont déserté depuis. Mais que vont devenir les autres ? Où sont les nombreuses armes qu’il détient", s’est-il interrogé.
De nombreux observateurs se sont ces derniers mois inquiétés d’un éventuel recyclage au Sahel d’armes de guerre dont des armes lourdes prises sur le front libyen par des combattants touaregs et/ou d’Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).
Après la fuite d’Ag Bahanga du nord du Mali en février 2009, pour ensuite un exil de près de deux ans en Libye, l’accord de paix signé en Algérie en 2006 entre Bamako et les rebelles touareg avait été relancé. Cet accord prévoit le développement des régions déshéritées du nord malien, en grande partie désertique.
Le chef rebelle touareg était revenu en janvier dernier au Mali pour selon plusieurs sources participer au processus de paix.

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