If these lost militia have a leader, I encourage the Ivory Coast Army Chief of staff and Defense Minister engage in talks to convince them to lay down their arms and be assimilated into civil society or the military as they desire. Meanwhile, the government of Ivory Coast must govern Ivory Coast full steam ahead. potable water, Sewerage, Education, Health services, and infrastructure repair and development, all have to be completed. Haruna.
The case of recalcitrant militia is not that significant in the larger scheme of things. Continue to work with them but if they venture out of their bunkers armed, they must be apprehended and prosecuted. A cordon must be established around their bunkers.
Courtesy: Le Monde & AFP.
Côte d’Ivoire : La tension persiste à Abidjan
Des tirs d’arme lourde ont été
entendus, lundi, à Abidjan dans le quartier de Yopougon, où des
miliciens favorables à l’ex-chef d’Etat Laurent Gbagbo rejettent l’appel
à désarmer lancé par le président ivoirien Alassane Ouattara. "Depuis
le matin, ils ont commencé à tirer, à l’arme lourde. On ne sait pas ce
qui se passe. On ne peut pas sortir", a déclaré une habitante du secteur
baptisé Niangon, dans le sud du quartier. Les miliciens présents dans
la zone "sont des jeunes de 17-18 ans, habillés en civil, tous armés",
a-t-elle précisé, sans préciser l’origine des tirs.
Un autre habitant, du
secteur Toits rouges, un peu plus au nord, a dit entendre "régulièrement
de fortes détonations depuis quatre jours", tôt le matin et en fin de
journée. "Il y a de jeunes combattants qui circulent en pick-up, qui
vont, qui viennent. On se blottit dans la maison", a-t-il ajouté.
Depuis l’arrestation de M. Gbagbo le 11 avril, les
Forces républicaines (FRCI) du président Ouattara ont progressivement
pris le contrôle de la capitale économique mais affrontent encore des
miliciens dans le quartier de Yopougon, fief historique de l’ancien chef
de l’Etat. M. Ouattara a menacé, vendredi, de "désarmer par la force"
les derniers groupes armés encore actifs à Abidjan, s’ils ne déposent
pas "rapidement" les armes.
Après des négociations avec les FRCI, certains chefs
miliciens se sont engagés à déposer les armes en échange d’une
protection, mais ne l’ont pas fait jusque-là.
M. Ouattara a également exigé le désarmement du "commando invisible" de
l’ex-putschiste Ibrahim Coulibaly, dit "IB", qui contrôle une bonne
partie du nord d’Abidjan. Lundi, le groupe a dit avoir demandé à
rencontrer le président pour se mettre à sa disposition.
LEMONDE.FR avec AFP | 26.04.11 | 08h36