So contrary to perceptions, there were more agents of state than just the red-berets. Some 250 recruits from the military school in plain clothes and armed. Allahu wakubaru. And the murders were planned and pre-meditated. Therefore the contention that most were killed by trampling does not hold much water because the trampling, if any, would have been to flee for their lives once fire was opened indiscriminately on them. Trampling my foot. Haruna.
"J’ai tiré sur lui parce qu’à un certain moment, il y avait trahison totale (...) à mon égard",
Dadis d’avoir voulu lui faire "porter l’entière responsabilité des évènements du stade, le 28 septembre".
"Je ne suis en rien l’instigateur et l’organisateur de cette répression",
 
Toumba explique que la répression, "planifiée", a été menée non seulement par les bérets rouges mais également par l’armée, la police, la gendarmerie et "250 recrues" d’une école militaire "habillées en tenue civile", munies "d’armes blanches et qui "ont causé d’énormes massacres".
 
A la question "vous dites que tous ces gens avaient été envoyés directement par Dadis Camara ?", l’aide de camp répond : "tout à fait".
 
Le lieutenant tente, en revanche, de minorer sa propre responsabilité dans la tuerie et blâme surtout son adjoint, le sous-lieutenant Marcel Guilavogui.
"La responsabilité individuelle que j’ai prise, c’était directement pour sauver les leaders de l’opposition", soutient-il, assurant même avoir tenté de calmer les forces de l’ordre.
 
"Je ne compte pas me livrer, parce qu’ils (les dirigeants de la junte, ndlr) ne veulent pas que la vérité soit connue. Ils préfèrent me tuer", a-t-il dit.
 
Selon la thèse officielle, les évènements du 3 décembre étaient une "tentative de coup d’Etat" résultant d’"un complot".
Une version démentie par Toumba. "Il (Dadis) est venu me chercher à Koundara (camp militaire) avec tout son cortège dans l’intention de m’arrêter", affirme l’aide de camp, qui dit avoir "ouvert le feu" au moment où le chef des opérations de Dadis se dirigeait vers lui avec une arme.
 
"hommes infiltrés par le pouvoir", dont "250 recrues" d’une école militaire "qui ont été habillées en tenue civile, munies d’armes blanches et qui ont causé d’énormes massacres".
 
"tous les corps se sont mal comportés". "La responsabilité individuelle que j’ai prise, c’était directement pour sauver les leaders (de l’opposition)", plaide-t-il.
"Je ne compte pas me livrer, parce qu’ils (les dirigeants de la junte) ne veulent pas que la vérité soit connue. Ils préfèrent me tuer",
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