I encourage the government of La Guinea to review the RATE OF EXTRACTION of La GUinea's subsurface minerals in line with the value it rightfully places on environmental shock and degradation. There is such a thing as UNECONOMIC MINING.
 
I have been generally opposed to extractive industry simply because I understood that poor and less developped nations particularly in West Africa where unbridled mining occurs and no secondary processing or manufacture occurs, there is not much incentive or capacity to establish marginal rates of extraction that do not pose long-term risks to human life and other ecosystems. Oftentimes, royalties from mining in Africa are based on volume. This is both unhealthy, dangerous, and untenable. The calculus for value ought to be based on an optimum rate of extraction. And that is best determined through research and experience. I understand that this is not in the best interest of mining companies but the interest of the population and the environment trumps those of mining concerns.
 
I am therefore pleased that the government of La Guinea is slowly moving toward this paradigm and I am confident a rate of extraction regime will be produced. I encourage Mali, La Guinea, Senegal, Ghana, SierraLeone, and Liberia to form themselves into a Mining consortium which will have as its mission to grow and develop an indigenous institute for Mining, Minerals, and Manufacture. The ideal will be to engender secondary processing and manufacture because if you do not know the value of your minerals, you cannot determine fees and or proper royalties for your populations.
 
I also encourage Mali and La GUinea to consider Morocco, China, The Netherlands, Japan, and Israel favourably in issuing mining leases and contracts. This for the sake of sustainable global development. Haruna.
 
Courtesy: La Guinea govt. website.

MINES:
BSGR pour le projet transguinéen

Après la délimitation des activités des sociétés BSGR et Rio Tinto, respectivement sur des moitiés Nord et du Sud de Simandou, BSGR évolue désormais à Kérouané sur les superficies du Bloc1 et une grande partie du Bloc1 couvrant essentiellement la Préfecture de Kérouané. Quant à la société Rio Tinto, elle évoluera sur la deuxième moitié du Bloc2, les Blocs3 et 4 au Sud qui couvre les Préfectures de Kérouané, Beyla et Macenta.

Ces deux sociétés sont d’ores et déjà appelés à travailler selon les limites fixées par les arrêtés (permis de recherche et d’exploration) délivrés et reconnus par les autorités en charge des Mines. A travers donc cette décision et à l’analyse du courrier, la société BSGR reprend la locomotive.

C’est ainsi qu’à travers une lettre adressée au ministre des Mines et de l’Energie, Ibrahima Sory II Touré, chargé des Relations extérieures de ladite société a clairement exprimé les engagements pris par le Groupe BSGR Guinée concernant la réalisation du Projet transguinéen nord (Conakry, Kankan, Kérouané) et le chemin de fer de N’Zérékoré vers le Liberia pour l’évacuation du minerai de fer des zones d’évolution de cette société. Les études de faisabilités de ce projet par les Experts attendus à Conakry, débuteront le 5 mars et prendront fin le 21 avril 2009. Dans les mêmes perspectives de BSGR, figurent également le projet de construction de l’Aérodrome de Kérouané et celui de deux grandes écoles sécondaires à N’Zérékoré et Kérouané, signe de campagne de développement communautaire lancée cette année par ladite société.

Dans la même lettre, M. Touré invite le ministre des Mines et de l’Energie et les Directeurs des structures techniques de son Département, à venir visiter l’ensemble des sites de BSGR à Zogota, dans la Préfecture de N’Zérékoré, afin de constater les premiers travaux exécutés depuis le début des opérations, il y a 10 mois. Ensuite, à Kérouané pour évaluer l’ensemble des réalisations faites par BSG Ressources / Guinée depuis 2006.

De telles activités nécessitent des mesures sur l’impact environnemental. C’est ainsi qu’à l’issue des entretiens avec le ministre du Développement durable et de l’Environnement, Ibrahima Sory II Touré s’est dit rassuré de la détermination des deux parties à mener à bien et jusqu’au bout, des études sur l’impact environnemental de l’ensemble des projets qui ont fait l’objet des permis de recherches et d’exploration dudit notamment à N’Zérékoré et Kérouané. Déjà, les représentants de deus sociétés étrangères de renommée internationale à savoir Snowden et Environ, se rendront à Conakry pour discuter avec les cadres du Groupe BSGR Guinée sur les données environnementales des zones d’évolution des projets de cette société.

Ibrahima Sory II Touré pense que cet engagement matérialisé par des efforts conjugués tous, permettra de surmonter les différents défis et obstacles liés à la mise en œuvre correcte desdits projets. Ceci, conformément aux meilleures pratiques internationales en matière de développement durable.

Basény Sylla/HOROYA


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